
Conteur.euse: monarchie de la parole
Déboulonner la posture toute puissante des conteurs sur l'acte de parole. Une parole toute linéaire et sans faille, construite pour se passer de l'apport de quiconque, sinon d'oreilles auxquelles on ne demande qu'être oreille. Un.e conteur.euse dirige, le temps de sa performance, d'une parole monarchique (du grec "seul" et "pouvoir"); dans certains cas, il est littéralement le seul à pouvoir prendre parole. Une mise en parole qui n'est rien d'autre que cette oralité dont Zumt